Catégories : Webcam selfie exhibition Cuckold candaulistes cocu Libertins
Ce récit est la suite de : La clef USB (13)
il y a 1 an
Le début de cette saga est ICI
Elle en était sûre. C’était couru. Il a été là à la première heure. Tout juste lui a-t-elle laissé le temps d’entrer. Et elle lui a tendu le moulage de sa queue.
- Tiens, ton exemplaire…
Il l’a tourné un peu dans tous les sens.
- Faut reconnaître… C’est très ressemblant.
Elle a éclaté de rire.
- Ah, ben ça, forcément !
- Un sacré phénomène, ta copine, n’empêche !
- C’est rien de le dire.
Il l’a encore tourné et retourné. Et puis il l’a posé sur la table devant lui.
- Et toi ? le tien ? Il est où ?
- Dans ma chambre.
Elle est allée le chercher.
- T’as pas tenu le coup, je suis sûr. C’était trop tentant.
- Non. Non. T’as tout faux. C’est pas l’envie qui m’en manquait, mais je t’avais promis. Et moi, quand j’ai promis, je tiens.
- Bon, mais maintenant…
Oh, oui, maintenant, oui ! Comment elle avait envie !
- Bon, mais d’abord on va te mettre en condition.
Il a allumé la télé. Fait défiler le menu de la clef.
- La six ? Je l’ai jamais vue, la six.
- Oui, oh, ben, celle-là, elle est pas triste.
- Alors celle-là ! Ça s’impose.
Et, à l’écran, elle a été à quatre pattes sur la moquette, nue, les fesses offertes. Suppliante. Exigeante. « Viens, Damien, oh, viens ! Baise-moi ! »
- Eh, ben dis donc !
Sa croupe a ondulé. Voulu le mâle. Imploré le mâle. « S’il te plaît, Damien ! Oh, s’il te plaît ! » Il a ri. « Ah, t’en es, hein ! » Une petite claque sur chacune de ses deux fesses qui se sont tendues plus fort vers lui. Qui se sont offertes à lui. Il l’a encore fait attendre. Obligée à mendier la saillie. « Ta queue ! Mets-la-moi, Damien ! Mets-la-moi ! Je t’en supplie ! » Il l’a pénétrée d’un coup. Et elle l’a accueilli avec un grondement d’intense satisfaction. « Oh, oui ! » Et de se voir. De se revoir. De s’entendre. « Pilonne-moi, Damien ! Pilonne-la-moi bien, ma chatte ! » c’était… c’était… Devant Antoine en plus ! Antoine dont les yeux étaient rivés à l’écran. Rivés à elle. Au spectacle obscène et échevelé qu’elle lui offrait. Antoine ! Qui s’est penché sur elle. Qui a chuchoté.
- T’es trempée, je suis sûr.
Trempée ? Elle ruisselait, oui.
Qui s’est penché plus près.
- Déshabille-toi !
Oh, oui ! Oui ! Elle l’a fait. Elle s’est dépiautée. Tout arraché. Tout enlevé. Et elle est retombée sur le canapé. Ses mains sur elle. Ses doigts en elle.
- Oh, Antoine ! Antoine !
- Christina…
Le moulage de sa queue. Dont elle s’en est avidement emparée. Qu’elle a fait courir, haletante, le long de sa chatte. Sur son bouton. Oui, mais pas comme ça. Et elle s’est laissée tomber sur le tapis. Agenouillée. Prosternée. Comme sur l’écran. À côté de l’écran. Antoine a soufflé.
- Oh, oui, pointe-le bien l’air, ton cul ! Encore ! Encore ! Oui. Comme ça !
Elle l’a remué. Balancé. Fait tournoyer. Ondoyer. Pour lui. Elle a gémi.
‒ Oh, Antoine ! Antoine ! Antoine !
Et elle s’est pénétrée. Avec son moulage-queue. Bien profond. Trop bon. Elle s’est refermée dessus. Elle a hurlé.
- Tu es à moi. À moi !
Et elle s’est élancée, à grands coups de bassin, de plus en plus vite, de plus en plus haletante, à la conquête de son plaisir.
- Oh, c’est bon ! C’est bon ! C’est trop bon ! J’en peux plus, moi ! J’en peux plus !
Elle a hurlé.
- La vraie ! Je veux la vraie. La vivante. La tienne.
Qui est presque aussitôt venue se poser contre ses fesses. Bien dure. Bien gonflée. Battante.
- Mets-la-moi, Antoine ! Derrière. Dans mon cul ! Je la veux, elle aussi. Comme l’autre. En même temps.
Et il a été en elle. Il s’est rejoint en elle. Il a palpité en elle. Il y a giclé. Il s’y est répandu. Et son plaisir à elle a déferlé. À grands cris éperdus.
2-
Elle s’est réveillée en sursaut.
- Quelle heure il est ?
- Quatre heures. T’as le temps.
Elle était nue. Sur le canapé. Dans les bras d’Antoine. Qui l’était aussi.
- J’ai dormi.
- J’ai vu ça, oui !
- C’est ta faute. Tu m’as crevée.
- Tu regrettes ?
- Oh, non ! Non !
Elle a cherché sa queue. Qui a aussitôt fait un bond. Elle a ri.
- Trois fois. Trois fois elle a eu ce qu’elle voulait, elle. Une fois derrière. Et deux fois devant. Et il lui en faudrait encore. Il est vraiment insatiable, ce truc…
- Et pas toi, peut-être ?
- Ça dépend. Ça dépend avec qui.
Elle a joué avec. L’a décapuchonnée. En a lissé le bout.
- Si je m’étais imaginé, à Noël, l’an dernier, quand ça a commencé tout ça, qu’on en arriverait là, tous les deux…
- Eh bien ?
- Eh bien je me serais pas fait tous ces nœuds au cerveau. Je me serais pas posé toutes ces questions à n’en plus finir.
Elle lui a déposé un petit baiser dessus.
- Mais, d’un autre côté, si ça c’était pas passé comme ça, peut-être qu’on en serait jamais arrivés là justement.
Un autre.
- Bon, mais ça sert à rien de revenir là-dessus n’importe comment. L’important, c’est qu’on soit bien. Repus. Rassasiés. Et qu’on continue à profiter de nous. Le plus possible.
- Oui, oh, ben alors ça !
- Quoi, oui, oh, ben alors ça ? ‒ Ben j’ai eu ce je voulais. Alors maintenant au revoir, merci et bon vent.
Elle lui a empoigné la queue.
- Non, mais écoutez-le, l’autre ! Fais bien gaffe à ce que je t’arrache pas le morceau, moi ! Je suis capable, hein !
Elle lui a enveloppé les boules. Les lui a enserrées. Pressées.
- T’es pas en position de force, là ! Alors ? Qu’est-ce tu disais ?
- Que je crois bien que je vais aller draguer ta copine Melissa.
Elle a serré plus fort encore.
- Mais c’est qu’il en serait capable, ce salaud, en plus !
- Moi, tu sais, dès que je peux rendre service…
Elle a lentement relâché son étreinte.
- Non, sérieux. C’est vrai ? T’as envie d’elle ?
Il lui a déposé un baiser dans les cheveux.
- Mais non, oh ! Je plaisantais.
- Ben ça se pourrait, hein ! Elle est pas mal fichue du tout, Melissa.
- S’il fallait coucher avec toutes les femmes qui sont bien foutues…
- Tu me dois rien, hein, Antoine ! Rien du tout. Il y aurait rien de pire que si tu te sentais obligé à quoi que ce soit. Tu fais ce que tu veux. J’ai rien à demander. J’ai rien à exiger. On prend du bon temps ensemble et puis voilà… Qu’est-ce tu fais ?
- Je nous remets la vidéo.
- Tu prends des risques.
- Ça, je sais bien.
Et elle a de nouveau été à l’écran. Offerte. Et Damien l’y a de nouveau vigoureusement pilonnée. Antoine a bandé contre elle. Pour elle. Elle s’est laissée glisser à quatre pattes, là, sur le tapis. Et elle l’a de nouveau voulu en elle. Et elle a rugi son bonheur.
Cette ressource n'a pas encore été commentée. |
Ce site Internet est réservé à un public majeur et averti et est conforme à toutes les règlementations françaises en vigueur. Il contient des textes, des liens et des photos classées X qui peuvent être choquantes pour certaines sensibilités.
Je certifie sur l’honneur :
- être majeur selon la loi en vigueur dans mon pays.
- que les lois de mon état ou mon pays m'autorisent à accéder à ce site et que ce site a le droit de me transmettre de telles données.
- être informé du caractère pornographique du serveur auquel j'accède.
- je déclare n'être choqué par aucun type de sexualité et m'interdit de poursuivre la société éditrice de toute action judiciaire.
- consulter ce serveur à titre personnel sans impliquer de quelque manière que ce soit une société privée ou un organisme public.
Je m'engage sur l'honneur à :
- ne pas faire état de l'existence de ce serveur et à ne pas en diffuser le contenu à des mineurs.
- utiliser tous les moyens permettant d'empêcher l'accès de ce serveur à tout mineur.
- assumer ma responsabilité, si un mineur accède à ce serveur à cause de négligences de ma part : absence de protection de l'ordinateur personnel, absence de logiciel de censure, divulgation ou perte du mot de passe de sécurité.
- assumer ma responsabilité si une ou plusieurs de mes présentes déclarations sont inexactes.
- j’ai lu, compris et accepte sans réserve les conditions générales rédigées en français même si j’ai usage d’un traducteur automatique ou non pour accéder à ce site internet.
Toutes les images contenues dans ce site sont en accord avec la loi Française sur la pornographie (aucune image de mineur n'est présente sur ce site)